
10 anecdotes sur le roman

1) Les 3 titres que La Symétrie de l’Effet n’a pas pris
La Symétrie de l’Effet s’est très vite appelée ainsi. Avant même l’écriture du manuscrit. Lorsque s’est posée la question de publier le livre, la problématique du titre est revenue sur le tapis. Voici donc les 3 titres que La Symétrie aurait pu prendre…
- La schizophrénie du Machu Picchu
- Adopte-moi si tu peux
- L’autre toi
2) L’ancien prénom de Romain
Romain ne s’est pas appelé ainsi pendant un long moment. Pendant l’écriture du livre, le personnage s’appelait Théo. Et cela n’a posé aucun problème. Jusqu’au moment de la relecture où il était impossible de s’y retrouver… Léo ? Théo ? Impossible à conserver. Mais pendant très longtemps je n’ai pas vu le problème !

3) La carte heuristique
Pour certains auteurs, l’histoire se construit au fur et à mesure de l’écriture du manuscrit. Même s’ils savent dans les très grandes lignes où ils veulent aller, ils laissent une part prépondérante à l’improvisation à mesure que le manuscrit avance. En ce qui me concerne, je n’ai pas du tout travaillé comme ça. Pendant plusieurs semaines, toute l’histoire et ce qui l’entoure ont été posés sur une grande carte heuristique. Rien n’a été laissé au hasard. J’ai démarré l’écriture de manuscrit en savant pertinemment où j’allais. Même si tout n’a pas été respecté à la lettre et que certaines choses se sont révélées pendant l’écriture, la plus grande partie du livre a été pensée dès le début.
4) Perhaps et Madame Bulle
Ces pseudo existent vraiment ! Alors si dans ta vie numérique tu as croisé un de ces pseudonymes, fort à parier que tu as côtoyé des gens qui ont inspiré La Symétrie de l’Effet. J’ai bien dit « inspirée ». Nous sommes bien sûr dans un roman ! À moins que…

5) Ulysses, mon vieil ami
Je ferai sans doute quelques articles pour raconter comment le livre a été écrit et faire un retour d’expérience sur cette aventure. Un des points importants de l’écriture d’un manuscrit c’est le « comment ». LSDE a intégralement été écrit avec le logiciel Ulysses qui est pour moi le meilleur. Et de loin. Pour les curieux, plus d’infos ici.
6) Les maths c’est toute une histoire
Toute la partie qui concerne les maths est fondée ! Oui, je ne fais pas que raconter des histoires. J’ai d’ailleurs écrit un premier article qui explique tout cela en détail. Il est accessible ici.

7) Jules qui ?
Jules Mudhiac est un nom d’emprunt. Dans la vraie vie, je ne m’appelle pas comme ça. Souvent il m’a été demandé si ce nom a un rapport avec ma véritable identité. Sachez que oui. Jules est mon deuxième prénom et Mudhiac est une anagramme de mon véritable nom. Voilà vous savez (presque) tout.
8) 45993
C’est le nombre de mots que compte le livre, hors remerciements. Je m’étais donné l’objectif de faire environ 50 000 mots ce qui est la taille classique d’un roman. J’ai souvent lu qu’il fallait se forcer à ne pas faire trop long pour un premier manuscrit. Objectifs atteints !

10) Le tri sélectif ou la parfaite allégorie
Au moment de mettre un point final à cet article, je jète un oeil à mon sac à plastique et à verre. Rassurez-vous, il déborde….

Merci Jules Mudhiac. Bon après-midi, bisous